Prochaine critique
Prochaine critique : Stephen King – Le Fléau tome 1
Prochaine critique : Stephen King – Le Fléau tome 1
Résumé de presse
Des visions étranges peuplent les nuits insomniaques de Ralph Roberts, un veuf retraité de soixante-dix ans : deux nains en blouse blanche, une paire ciseaux à la main, de singulières auras colorés… Devient-il fou ?
N’est-il pas plutôt victime d’une volonté supérieure qui lui donne des pouvoirs paranormaux ? Tandis qu’une agitation incontrôlée gagne la ville à propos d’une clinique où se pratiquent de avortements, Ralph se transforme en justicier, bien malgré lui…
Mon avis
En lisant ce roman je me suis tout de suite souvenu de Simetierre, ca m’a fait le même effet, chose rare chez Stephen King le héros est un homme âgé à qui on s’attache dès les premières pages. Les 955 pages ne sont pas du tout pénible au contraire on a envie que ca dure plus longtemps. Point faible vers les 3/4 ca devient du grand n’importe quoi mais l’histoire demeure intéressante. Je le conseille
Note: 9/10
Insomnie de Stephen King
Résume de Bernard Werber
Au-dessus des hommes,
les Anges.
Au-dessus des Anges,
les Dieux.
Au-dessus des Dieux:
?
Mon avis :
Le début m’as pas mal surpris…j’ai été étonné dela tournure que prenais l’aventure mais au fil du temps je trouvais ca « gros » mais je vous laisse découvrir vous même (tout en sachant que je suis difficile) par contre la fin est incroyable est géniale….on a une grosse surprise et ca en devient carrément initiatique.
Note : 9/10
Prochaine critique : Le mystère des dieux de Mr. Werber
Résume de Bernard Werber :
Quelque part dans l’univers l’île d’Aeden, dernière étape du cheminement des âmes…
Dans la ville d’Olympie, les élèves dieux étaient 144, ils sont désormais moitié moins nombreux.
Michael Pinson tente de faire survivre son peuple, alors que l’Histoire accélère. Plus les élèves jouent plus ils ont de difficulté à créer un autre scénario que celui de la première Terre. Comme si l’Histoire était une fatalité, comme s’il n’y avait qu’une manière de faire évoluer les civilisations.
Mais Michael n’a pas comme préoccupation que la survie des mortels qui le vénèrent, il doit aussi gérer des problèmes dans son quotidien. Il est amoureux d’Aphrodite, déesse de l’amour. Il doit essayer de ne pas se faire tuer par le Déicide, cet élève tricheur qui élimine directement ses concurrents à coups de foudre. Enfin il doit essayer de comprendre ce qu’il fait là. Construit comme un livre initiatique, « Le Souffle des Dieux » est un cheminement dans un monde fantastique de rêve mais aussi une réflexion philosophique sur l’histoire de l’humanité et le sens de ses coups de théâtre.
Mon avis :
Pour ce livre j’ai passé par dessus les textes concernants les différents peuples gérés par les éleves qui à mon avis ne changent en rien l’histoire des dieux. Les aventures de Michael Pinson sont trépidantes et on a vite envie d’en découdre pour enfin savoir ce qu’il en advient…on est pas décus car l’histoire comporte de nombreux rebondissement, j’avais l’impression de vivre moi aussi à coté des dieux…je n’ai rien d’autre à dire car je me répeterais en disant la meme chose quand dans la critique de Nous les dieux…..Allez prochaine critique : Le mystére des dieux……déjà 126 pages de dévorées et j’en reviens pas à ce qu’il arrive a Pinson…
Note: 9/10
La prochaine critique sera Le souffle des dieux – Bernard Werber
Richard Bach -Jonathan Livingston, Le Goeland
Résumé du site officiel :
Quelque part, loin, très loin, se trouve une île que ses habitants appellent Aeden.
Là, perchée sur un haut plateau, une ville: Olympie. Dans son coeur, une étrange institution, L’Ecole des Dieux, et ses professeurs: les 12 dieux de la mythologie grecque, chargés d’enseigner l’art de gérer les foules d’humains pour leur donner l’envie de survivre, de bâtir des cités, de faire la guerre, d’inventer des religions ou d’élever le niveau de leur conscience.
La nouvelle promotion? 144 élèves dieux qui vont devoir s’affronter à travers leurs peuples, leurs prophètes, chacun avec son style de divinité.
Mais la vie sur Aeden n’est pas le paradis. Un élève essaie de tuer ses congénères, un autre est tombé fou amoureux du plus séduisant des professeurs, Aphrodite, déesse de l’amour, et tous se demandent quelle est cette lumière là-haut sur la montagne qui semble les surveiller…
Mon avis :
La plupart des lecteurs trouvent le style de Werber très « scolaire » oui je suis tout à fait d’accord avec vous… mais comment expliquez-vous toutes ces ventes ? Et je préfere personellement ce style d’écriture je trouve que cela est plus plaisant à lire (peut être ai-je de mauvais gouts qui sait ?). Avant d’entrer dans le vif du sujet (la critique), je tiens à mettre un chapeau d’honneur a Werber, car avec l’intégration dans ses livres des Encyclopédies du savoir relatif et absolu de Edmond Wells j’ai appris beaucoup de choses.
Je me suis donc plongé dans la lecture de « Nous les dieux »…au début je me rememorais facilement les aventures du roman précedent: « l’empire des anges » Apres environ dix pages l’histoire est lancée et on assiste aux aventures de Michael Pinson en se faisant toujours une idée de la suite, qui , en faite, est toute fausse (C’est aussi cela l’effet Werber) Et commencent enfin les cours pour nos apprentis dieux. Il n’y a pas que ça mais je trouve personellement, que les histoires concernant les peuples crées par les apprentis ne sont pas très plaisants à lire mais cela fait partie de l’histoire…Si vous cherchez un livre facile à lire, un livre amusant et instructif choisissez donc la serie des anges et des dieux de Werber… Bon j’y vais….je vais lire Jonathan Livingston le Goeland (dont vous aurez la critique) et je me replonge dans le Souffles des Dieux. Ciao
Note : 9/10